Analyse de contrats, recherche juridique, extraction de clauses, génération de documents. L'intelligence artificielle transforme le métier. On vous aide à en tirer le meilleur — sans les risques.
Tout le monde parle d'IA. Votre direction vous demande "où on en est". Vos concurrents communiquent sur leurs "solutions innovantes". Les éditeurs vous bombardent de démos impressionnantes.
Mais entre la promesse marketing et la réalité de votre quotidien, il y a un fossé. L'IA qui répond à côté. Celle qui invente des jurisprudences. Celle qui coûte une fortune pour un gain marginal. Celle qui pose des questions de confidentialité que personne ne veut regarder en face.
On connaît ces écueils. On sait ce qui marche, ce qui ne marche pas. On vous aide à déployer l'IA là où elle a du sens — et à éviter les pièges.
Le terme recouvre des réalités très différentes. Mettons les choses au clair.
C'est ce qui fait le buzz. Des modèles de langage capables de comprendre une question en français et d'y répondre de manière fluide.
Le problème : ces modèles "hallucinent". Ils inventent des références, citent des arrêts qui n'existent pas. Utilisés tels quels, sans garde-fou, ils sont dangereux dans un contexte juridique.
Des outils conçus spécifiquement pour le droit. Entraînés sur des corpus juridiques, connectés à des bases fiables.
C'est plus fiable. Mais ça reste des outils qu'il faut savoir utiliser, paramétrer, intégrer. Et tous ne se valent pas.
L'IA peut être une couche intelligente ajoutée à votre CLM, votre GED, votre outil de facturation. Un assistant qui comprend le contexte, qui fait des suggestions.
C'est souvent là que les gains sont les plus concrets : pas un outil de plus, mais vos outils existants rendus plus intelligents.
Oubliez les promesses marketing. Voici ce qui fonctionne aujourd'hui.
L'IA parcourt 80 pages en quelques secondes, identifie les clauses sensibles, flag les écarts, génère un résumé structuré.
Gain mesuré : 40 à 60% de temps en moins sur la revue contractuelle.
Posez la question en français. L'IA fouille les sources, ramène les décisions clés, résume, met en perspective.
Attention : ça ne remplace pas l'analyse juridique. Ça accélère la phase de recherche.
500 contrats à auditer pour un M&A. L'IA extrait dates, montants, parties, clauses clés. Structure tout dans un tableau exploitable.
Ce qui prenait des semaines prend quelques jours. Et c'est plus fiable.
NDA, mise en demeure, note de synthèse. L'IA produit un premier jet à partir de vos instructions et modèles.
Jamais parfait du premier coup. Mais partir d'un document à 80% plutôt que d'une page blanche change la donne.
Un chatbot interne entraîné sur vos procédures absorbe les questions simples. Les questions complexes sont escaladées aux juristes.
Résultat : moins d'interruptions, plus de temps pour le travail de fond.
Les modèles inventent. C'est leur nature. Une IA généraliste peut citer un arrêt qui n'existe pas.
La parade : outils qui sourcent, supervision humaine systématique.
Quand vous envoyez un contrat client à une IA, où vont ces données ?
La solution : déploiements souverains, configurations qui garantissent que vos données restent vôtres.
Un outil IA dans son coin, utilisé par deux personnes — ça ne change rien.
L'enjeu : s'intégrer dans vos flux de travail. Être là où les gens travaillent.
Plusieurs centaines d'euros par utilisateur/mois. Plus intégration, formation, maintenance.
Le calcul : faire le ROI honnêtement, pas sur les projections marketing.
Plateforme qui permet aux avocats de créer du contenu (articles, posts LinkedIn) à partir de leurs propres sources : conclusions, notes, doctrine.
L'IA écrit à partir de ce qu'on lui donne. Zéro hallucination, zéro jurisprudence fictive.
Outil conçu par un cabinet d'avocats. L'IA est entraînée sur des sources vérifiées, spécialisée sur son domaine.
Pas un gadget généraliste. Un outil métier, conçu par des gens qui pratiquent.
Des milliers de contrats fournisseurs. On a construit un extracteur qui identifie les clauses sensibles, génère un rapport structuré.
Avant : des semaines. Après : quelques jours.
L'IA fait la première passe : clauses obligatoires, montants cohérents, durées conformes. Elle flag les écarts et prépare le travail du juriste.
Gain de temps : 40%.
On ne découvre pas votre métier. On sait ce qu'est une clause abusive, un protocole transactionnel, une due diligence. Ça change tout dans la qualité de ce qu'on construit.
On a les mains dedans. On sait ce que les modèles savent faire et ne savent pas faire. On ne vous vend pas du rêve.
Pas de partenariat avec des éditeurs. On vous dit ce qu'on pense vraiment, même si c'est "le mieux c'est de ne rien faire pour l'instant".
L'IA n'est pas une fin en soi. C'est un moyen. On part toujours du problème, jamais de la techno.
Non. Elle va transformer le métier, pas le supprimer. Les tâches répétitives seront automatisées. Le temps libéré sera réinvesti dans ce qui demande du jugement, de la créativité, de la relation humaine.
Ça dépend de l'outil et de l'usage. Une IA généraliste sans garde-fou ? Dangereux. Un outil spécialisé, connecté à des sources fiables, avec supervision humaine ? Très fiable — souvent plus qu'un humain fatigué.
C'est LA question. La réponse dépend de l'outil et de sa configuration. Il faut exiger des réponses claires et contractuelles, pas des promesses vagues.
Solutions du marché : de quelques dizaines à plusieurs centaines d'euros par utilisateur/mois. Sur-mesure : à partir de 10-15K€. Le vrai calcul : le ROI (temps gagné, erreurs évitées, valeur créée).
Par un problème concret. Identifiez une tâche répétitive, chronophage. Testez une solution sur ce périmètre. Mesurez. Élargissez si ça marche.
Oui. Sessions de sensibilisation, formations pratiques, accompagnement au changement. L'outil ne suffit pas — il faut que les gens s'en servent.
Que vous ayez un projet précis ou juste des questions, on est là pour en discuter. Pas de pitch commercial, juste une conversation.